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 Article dans le mensuel de PBLV n°37

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Emilie
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Emilie


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MessageSujet: Article dans le mensuel de PBLV n°37   Article dans le mensuel de PBLV n°37 Icon_minitimeJeu 5 Mar - 17:16

Hello ! Voici des articles issu du mensuel de PBLV n°37.

Coup de projo : PIERRE ET LA NOUVELLE VIE DE FAMILLE DE LEO !

C’est l’événement et le rebondissement le plus surprenant de ces dernières semaines dans Plus belle la vie : l’arrivée de Barbara, la fille de Léo. L’occasion pour le Mensuel de donner la parole à Pierre, l’heureux interprète de Léo, entouré lors de notre séance photo de Valérie et Léa, les fidèles camarades de jeu du premier flic de France. Anecdotes de carrière, souvenirs de tournage dans PBLV et visions de la vie… Pierre nous emmène dans son univers de comédien. Un acteur aussi original qu’attachant.

Avant de devenir comédien, tu as fait des études de psy. Pourquoi ?

Avant ça, j’ai même fait des études d’économie jusqu’en Licence, puis j’ai bifurqué vers la psycho parce que je voulais comprendre comment fonctionne la nature humaine. J’ai été psychologue pendant un an auprès de gens qui sortaient de prison et je donnais des cours à des infirmiers qui travaillaient en milieu psychiatrique. Une période très intéressante. J’avais 25 ans et j’essayais de me situer dans l’existence, de comprendre comment les choses marchent. Mes études de psychologie m’ont donné une grille de lecture de l’existence…

Pourquoi alors avoir changé de voie ?

J’avais le sentiment que je n’avais pas une assez grande expérience de la vie. Je ne me sentais pas àla hauteur de ce que les gens attendaient de moi. Je suis devenu journaliste. Pendant deux ans, j’ai animé deux talk-shows sur une radio de Rouen. L’un parlait de peinture et de théâtre et l’autre était une émission pendant laquelle je recevais des gens exerçant des métiers rares, comme aumônier de prison, détective… J’ai construit tout mon parcours à partir de ma curiosité pour la nature humaine. C’est le fil conducteur de ma vie !

On en arrive à ton métier de comédien…

Pendant cette période, j’ai rencontré des metteurs en scène qui m’ont donné l’envie d’être comédien. A la fin des années 80, j’ai décidé de monter faire l’acteur à Paris. Ma première expérience a été une petite séquence dans un film de Claude Chabrol, Une affaire de femmes, où je jouais le rôle d’un soldat allemand pendant la seconde Guerre Mondiale. Il ramassait une pièce qu’un enfant avait laissé tomber. J’avais quelques secondes pour faire passer la solitude du soldat en guerre qui croisait le visage innocent d’un enfant. Ce moment a plus à Chabrol qui m’a refait travailler par la suite.

A cette époque, tu as aussi beaucoup fait du théâtre. Qu’est-ce que cela t’as apporté professionnellement et humainement ?

Je pense que tous les ados qui font du théâtre seront d’accord avec moi : c’est l’un des rares endroits où on leur parle de la vraie vie, où on s’intéresse à ce qu’ils sont. En jouant, les grands rôles, en travaillant les grands textes, on découvre véritablement la nature humaine. Et pour servir le personnage, on a besoin de bien se connaître soi-même. Le théâtre est un lieu de formation de l’homme ! Comédien, ce n’est qu’un prétexte pour mieux se connaître. Même s’il y a un immense plaisir à jouer sur scène et à sentir toutes ces personnages réunies dans un même lieu juste dans le but de te regarder. C’est gratifiant !

As-tu eu expérience particulièrement marquante dans ton parcours théâtral ?

Le rôle qui m’a le plus marqué c’est celui d’Œdipe roi que j’ai joué au Théâtre d’Epidaure, au théâtre d’Epidaure, un théâtre antique de 16 000 places. Jouer ce texte là dans les lieux où il a été créé, en plein air, sous les étoiles de la nuit grecque, dans un théâtre de pierres… Je me souviendrai toute ma vie de ce moment là), de mon entrée sur scène après qu’Œdipe vient de se crever les yeux. J’avais un bandeau ensanglanté sur les yeux, je ne voyais rien, et je sentais ces milliers d’yeux qui m’attendaient, qui m’espéraient.

Code:
« J’ai un côté populaire, rugueux ! Je pense que c’est ce qui a plus à Claude Chabrol et lui a donné envie de me prendre dans ses films »

A la télé, tu as joué dans à peu près toutes les séries policières (Julie Lescaut, Navarro, Les Cordier, Commissaire Moulin, PJ…). Comment l’expliques-tu ?

J’ai un physique indéniablement masculin, martial, qui m’a permis de décrocher en alternance des rôles de flics ou de voyous. Quelque chose de rugueux ! Je pense que c’est aussi mon physique qui a convaincu Enki Bilal de m’engager dans Tykho Moon pour jouer un homme de main…

T’aurais préféré avoir davantage de rôles plus doux, plus romantique, dans ton CV ?

J’en ai eu aussi, plus au cinéma qu’à la télé d’ailleurs ! Mais j’ai quand même une préférence pour les personnages au caractère bien trempé, révolté, un peu à la marge.

Et tes souvenirs au cinéma ? Quel regard portes-tu sur Claude Chabrol notamment, avec qui tu as collaboré à cinq reprises ?

Claude est vraiment quelqu’un d’à part dans le métier, un artisan. Sur un tournage, je l’ai vu parler pendant toute une après-midi avec un SDF. Avec lui, on n’a jamais de grandes théories sur le cinéma même si c’est évidemment quelqu’un de terriblement intelligent. Ce qui l’intéresse, c’est la rencontre avec les personnes. Je pense que ce qui l’a intéressé chez moi, c’est mon côté populaire, rugueux. Je ne suis pas un bourgeois ! Même si dans Betty, j’ai joué pour lui un militaire de carrière d’une famille noble. J’ai aussi fait une belle rencontre avec Philippe Garrel dans La naissance de l’amour. C’est un réalisateur qui demande d’être le plus sincère possible, de jouer au plus près de la vie.

Code:
« Je suis très intéressé par la paternité. J’ai été super content quand la production m’a annoncé que Léo allait voir arriver sa fille ! »

Ta carrière au cinéma prenait de l’ampleur (second rôle dans Ligne 208 de Bernard Dumont) Lorsque tu es rentré dans PBLV. Pourquoi avoir fait le choix risqué de ce feuilleton ?

Trois mois après mon arrivée sur PBLV, le réalisateur Joseph Morder m’a également proposé un beau rôle dans El Cantor que Luis Rego a finalement repris. Je m’étais engagé dans PBLV, je n’avais pas le choix. L’aventure Plus belle la vie était en train de naître, j’avais un vrai attachement à ce projet, à l’équipe et au public.

Ton attachement est toujours intact 4 ans après ?

Oui, toujours autant ! Aucune lassitude !

Pour en venir à ton personnage de Léo, comment lui as-tu donné vie ? Es-tu allé dans des commissariats pour t’inspirer ?

Non, j’ai rencontré des flics mais je ne mélange pas la fiction et la réalité. J’ai fait une drôle d’expérience sur le tournage d’un film dans lequel je jouais un voyou qui se retrouvait en garde à vue. Le tournage se passait dans un vrai commissariat. Un jeune homme était là, dans la cellule où on allait tourner. Je le regardais et il avait l’air bouleversé après ce qu’il avait fait, très inquiet. Le fait qu’on arrive avec notre fausse histoire m’a créé une impression désagréable. Pour qu’on puisse travailler les flics l’ont emmené ailleurs, menotté. J’ai eu le sentiment qu’il se sentait humilié. Pour travailler un rôle, je préfère me documenter à côté. A chacun son métier !

Comment les flics réagissent avec toi ?

J’ai été invité au Noël de la police à Marseille. Ils m’ont dit qu’ils retrouvaient vraiment un flic en Léo, que j’étais crédible. Cela m’a fait plaisir. Ca veut dire que je fais mon travail correctement et que le personnage est bien écrit.

Est-ce que ce rôle te permet de faire sauter les amendes ?

Non ! Et je ne le ferai pas parce que je n’ai pas du tout envie de me servir de ma notoriété pour avoir des passe-droits.

Tu es l’un des comédiens du feuilleton les plus identifiables par le public. Ta notoriété n’est elle pas un peu pesante ?

Je suis devenu un personnage public, vu par 6 millions de téléspectateurs tous les soirs, et je sais que dès que je sors de chez moi, je vais rencontrer des gens qui vont me reconnaître et vouloir parler avec moi. Ca a deux conséquences : la première c’est que, quand les gens viennent me parler, j’essaie d’être accueillant ; et la deuxième, c’est que… je ne sors plus beaucoup de chez moi (rires)

Quel rapport as-tu avec le public ?

Les gens sont généralement assez démunis quand ils nous rencontrent. Ils sont à la fois heureux de nous voir et parfois impressionnés. Ca nous oblige à rester simples en retour. Plus belle la vie, c’est un coup de bol pour nous, les comédiens ! Non seulement, on a eu cette énorme chance de participer à l’aventure, mais en plus on est aimé par des millions de personnes. Honnêtement, je ne sais si on le mérite ! On est des gens beaucoup moins bien qu’ils ne le pensent. A son école, des copines de ma fille lui disent que son père est vraiment un mec génial, qu’il résout toutes les affaires. Ca l’amuse beaucoup. Elle est obligée de leur dire que Léo est un rôle et que son père… est un mec tout à fait normal ! (rires)

Es-tu content de l’évolution de Léo qui voit sa vie privée et familiale s’étoffer ces derniers temps ?

J’ai trois enfants et je sais qu’être père est quelque chose de passionnant. Je suis donc vraiment content que Léo ait une fille. On a déjà vu ce genre de relation avec le personnage de Maxime.

Un petit mot sur Valérie et Léa, ta femme et ta fille à l’écran…

Valérie n’est pas seulement très jolie. C’est aussi une actrice rare par son humilité, sa disponibilité, sa gentillesse, l’engagement qu’elle met dans son travail et l’émotion qu’elle arrive à transmettre. On s’entend très bien ! Quant à Léa, je ne la connais pas encore très bien mais elle me touche par sa sincérité dans son rapport avec les autres. Elle arrive avec ses 20 ans dans une équipe qui se connaît déjà depuis longtemps et elle ne triche pas. Elle très humble. Ca me plait !

Cette famille a tout pour aller loin…

Je ne sais pas ! Faut demander ça aux auteurs…

Enfin, tu avais fait partager aux lecteurs du Mensuel, dans un ancien numéro, ta passion pour l’écriture. Où en es-tu dans tes projets ?

J’écris toujours un récit sur la vie de ma famille, sur quatre générations, de mon grand-père à mes enfants. Je crois que l’histoire de ma famille est assez typique de celle d’une famille française : mes grands-parents étaient paysans, mes parents ont vécu dans une ville moyenne, et moi, je suis monté à Paris. Mes enfants, continuent sur cette même trajectoire. Je veux mettre en avant la façon dont le monde rend la vie difficile, pour les petites gens, et comment ces gens-là trouvent néanmoins la force d’exister et de construire leur propre vie. A la fois, la façon dont le monde les empêche d’exister, et comment ils y parviennent malgré tout.

Petit mot de Valérie Baurens et Léa François :

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 Valérie Baurens : « Ce qui nous a rapprochés avec Pierre, ce sont les liens qui ont uni Léo à Agathe, un mélange de pudeur, de respect et d’admiration. Plus de deux après, notre rapport est toujours aussi sincère. Je suis profondément admirative de son implication et de son approche de Léo. C’est un partenaire qui me pousse à aller loin dans mon personnage d’Agathe »

Code:
 Léa François : « Quand on m’a dit que j’allais être la fille de Léo, j’ai regardé tous les épisodes où Pierre tournait. Je m’attendais à tomber sur un comédien hyper sérieux. Or, quand la caméra ne tourne pas, Pierre est plutôt déconneur ! J’étais d’autant plus ravie de tourner avec lui ! »


Dernière édition par Emilie le Jeu 19 Mai - 18:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Article dans le mensuel de PBLV n°37   Article dans le mensuel de PBLV n°37 Icon_minitimeJeu 5 Mar - 17:17

Suite des articles :

PIERRE- LÉO
DOUBLE INTERROGATOIRE !

Pierre est certainement l’un des comédiens les plus attachés à son personnage. Il est donc le mieux placé pour parler au nom de Léo. Le Mensuel a donc demandé à Pierre pour chacune es questions suivantes, de répondre à la fois pour lui, personnellement, et pour son personnage. Verdict…

Pierre :

Ta vision du métier :

Il y a deux aspects du métier : l’aspect pratique, quand tu travailles et essaies de rendre vivantes et vibrantes les choses qui sont écrites. Et puis, il y a la réalité du marché qui est faite de rencontres et de stratégie. Il faut ne certaine habileté sociale. De très bon acteurs n’arrivent pas à travailler parce qu’ils n’ont pas rencontré les bonnes personnes… Et- je ne crains pas de le dire- des acteurs plutôt médiocres travaillent beaucoup parce qu’ils sont dans les bons réseaux.

Ce que l’un pense de l’autre…

J’aime énormément le personnage ! Il me touche par son humanité, sa sincérité. Parfois, il me fait rire parce qu’il est capable de beaucoup de chose pour arriver à ses fins. Le côté Léo menteur m’amuse beaucoup. Je n’aimerais pas l’avoir comme ami car il ne dois pas être facile à vivre tous les jours.

Qu’est ce qui peut te faire rire…

La complexité de la vie ! Comment la vie peut être à la fois sérieuse et complètement dérisoire. Comment on se complique les choses alors que ce qu’il faut trouver, c’est la simplicité ! Mais, c’est difficile de se rendre les choses simples ! Parois, je me complique l’existence alors que j’ai une vie plus facile que la plupart des gens ! Avec le recul, ça me fait rire…

Ce qui t’énerves par-dessus tout…

L’incapacité à accueillir chez l’autre ce qu’il y a en lui de différent.

Ton type de femmes…

Les femmes les plus simples possible, les plus directes, généreuses, gentilles, intelligentes et sensibles… mais c’est aussi ce que je recherche chez les hommes.


Ta principale qualité et ton plus gros défaut…

L’orgueil pour le défaut : et la volonté en qualité. Derrière ces deux choses-là, il y a la rage de vivre. L’un est le côté noir de l’a chose ; l’autre, le côté positif !

Léo :

Ta vision du métier :

Je suis un justicier ! Je veux faire justice et trouver les coupables. Je suis quelqu’un qui aime beaucoup l’être humain. Je veux punir les méchants et protéger les braves gens. Je suis revenu sur pas mal de principes car je sais qu’il y a parfois des arrangement avec la loi. Ca ne me plait pas beaucoup parce que je suis quelqu’un d’honnête.

Ce que l’un pense de l’autre…

Pierre Martot c’est un charlot ! Acteur, ce n’est pas un métier très sérieux ! Moi il m’arrive de risquer ma vie sur certaines affaires. On ne peut pas dire la même chose d’un comédien…

Qu’est ce qui peut te faire rire...

Mirta me fait rire, avec son mélange de naïveté, parfois de bêtise, et d’humanité. Elle a des réflexion très « 1er degré » qui, quand on connait sa générosité, la rendent attachante… Mirta est une véritable amie !

Ce qui t’énerve par-dessus tout…

La crapulerie, le mensonge, le crime, les trafics en tout genres ! Dans l’affaire avec la mafia, j’étais exaspéré par ces crapules qui connaissent les lois aussi bien que moi et que je n’arrivait pas à coincer…Le fait de me sentir impuissant m’exaspère.

Ton type de femme...


Agathe ! Je suis très heureux avec elle. J’ai une grande complicité et tendresse pour elle. Je me dis parfois que rien ne pourra jamais nous séparer.

Ta principale qualité et ton plus gros défaut…

Mon défaut ??? Ma tendance à me méfier de tout le monde, exacerbée par mont métier. Quant à ma qualité c’est ma capacité à m’émouvoir d’un sourire d’Agathe.

Voici les photos : Par contre je n'ai pas pu toutes les mettres désolée Clins do'iel

Article dans le mensuel de PBLV n°37 Photosdelasancepourleme.th

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Et si les comédiens de PBLV échangeaient leurs rôles…

Pierre MARTOT :

Un personnage qui n’existe pas ! J’aimerais bien qu’il y ait sur la place du Mistral un clochard visionnaire, qui serait une espèce de conscience collective du Mistral, qui serait né là, qui aurait toujours vécu là, qui aurait donc tout vu qui aurait des dons divinatoires. Mais comme c’est un clochard, personne ne l’écouterait puisqu’on croit que les clochard ne sont pas des gens sérieux. Souvent, au cours des intrigues, il donnerait des indices ou indiquerait le chemin qu’il faut suivre. Le plus serait qu’il soit le frère jumeau de Léo.
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http://pierremartot02.skyrock.com
 
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